Acasă

la france brule-au sujet des nouvelles revoltes,chances et problèmes

Article de Francesca Fabeni traduit par le journal révolutionnaire,socia

liste,libertaire "La Comune"du 14 Novembre 2005-n°52.



La France brûle.-Au sujet des nouvelles révoltes,chances et problèmes.



Est passèe la 17ème nuit d'incendies en France.A' propos de l'absurde

mort à Clichy-sous-Bois(à Nord de Paris)de 2 adolescents,Bouna et

Zyed,poursuivis par les agents de Police et foudroyés dans une petite

centrale électrique où s'avaient réfugiés,est explosée la rage de nom

breux camarades du même age.Tandis qu'y avait l'écho du gros mot

du Ministre de l'Interieur Sarkozy,qui pendant les precédents jours a

vait défini "lie"les jeunes des banlieues-expression qui a ensuite confir

mé-des groups de jeunes ont incendiés des autos à Clichy-sous-Bois

pendant la même nuit,le 27 octobre.A' ce moment-là dans toute la Fran

ce,non seulement dans la Banlieue de Paris,est grandie la rèvolte à la

quelle ont participé des groups de jeunes,qui généralement ne vou

laient pas l'affrontement avec les agents de Police,sauf pendant les af

frontements au centre de Lione.La majorité des protagonistes de la ré

volte sont très jeunes et des jeunes de la banlieue-banlieusards-de 2è

me ou 3ème génération,c'est à dire,des fils ou neveux d'immigrés deve

nus formalement des citoyens français.Malgré les appels des parents

de Bouna et Zyed (qui demandent la verité à l'ègard de la mort de leurs

fils,mais ont invité les communautés immigrées au calme),malgré des

nombreux imams fussent contraires à la révolte,quoique un lacrymogé

ne eût frappèe la mosquèe à Clichy-sous-Bois le 30 octobre,3 jours a

près l'inice de la révolte,malgré les manifestations contre la violence pro

posées par les maires et les comités de défense des citoyens (parce

que les incendies empireraient les problémes dèjà gros des banlieues),

malgré les mesures répressives préparées par le Gouvernement,le re

cours exceptionnel à corps de Police,jusqu'à décréter "le coprifuoco"

depuis le 7 Novembre,malgré ça le climat social n'est pas tranquille.

Pendant 2 semaines sont outre 300 les municipalités françaises impli

quées,environ 7000 les autos incendiées et en outre les écoles,les ca

sermes,les bâtiments publics etc.Il y a étée une victime,un pensionné

dont n'est pas claire la mort.Les personnes fermées ou arrêtées sont

dèjà outre 2500,dont 500 mineurs.

La gravité des événements,qui a frappé la France,une blasonnée patrie

de la démocratie europeenne bouleversée par des révoltes urbaines

dehors le contrôle de l'État,rappele à réflexions inquietes nos journalis

tes et les étrangers,évoque des incertaines perspectives aux nos hom

mes politiques(au gouvernement ou à l'opposition).

Difficile superer des stéréotypes(semble prêvu penser au film de Kasso

vitz "l'haine",mais une apprèciation profonde des événements est com

mune à la presse "bourgeoise" de droit,de centre,de gauche,c'est à dire,

protéger "la philosophie"d'État,de l'État français ,comme pourrait être

des autres États.L'obsession "politiciste",qui imprégne chaque appré

ciation des événements toujours crée des "abstractions",pour exemple

celle-là des "citoyens",a cause de laquelle cette révolte aurait promou

vue par ces citoyens français de "catégorie B",qui avertiraient le refus,

l'emargination,mais refuseraient l'integration aux idées republicaines

ou l'actuelle révolte serait une puissante impulsion à l'integration,pour

s'homologuer et devenir des citoyens de "catégorie A".

Difficile lire les événements selon la traditionelle "philosophie politicis

te",tandis qu'eux ne sont pas catalogables!

Pourtant il y a un maladroit événement (le "1968 des banlieues",l'Intifa

da de Paris","la Révolution des beurs")ou des apprèciations au sujet

de la différence entre un prèsumé centre riche,tranquille(le même des

incendies des maisons des immigrès,qui ont ensanglanté le centre de

Paris pendant les mois passés)et les menaceuses banlieues(où on cul

tive "l'ennui incendiaire des exclus").

Pourtant tous demandent:quelles sont les revendications politiques

des jeunes des banlieues?Superficielement semble qu'eux n'aient pas

des revendications à faire.

Pourtant en se qualifiant comme les reprèsentants politiques de la rèvol

te,les secteurs de la gauche française demandent les démissions de Sar

kozy,pour circonscrire le problème politique profond à un représentant

du Gouvernement,sans entamer un entier régime et aussi l'État.

Peut-être ont une sale conscience,parce que tous les partis ont collabo

ré à elire Chirac et l'ont aussi exalté-no Globals avant tous-comme un

défenseur anti-USA(pendant la guerre en Iraq),aussi si aujourd'hui de

noncent "la philosophie liberiste" du gouvernement.

Pourtant des associations antiracistes compromises avec les Institu

tions,comme SOS Racisme et pareilles,savent demander seulement u

ne massive intervention de l'État social dans les banlieues dégradées

et en effet manifestent pour faire cesser "le coprifuoco"seulement des

centaines de personnes.

Pourtant on recevoit un dépassé débat à l'ègard des hypothéses inte

grationistes et aussi lorsqu'on en reconnaît tardivement la faillete évi

dente(soit de l'expérience anglaise ou française,qui pense à l'expul

sion "des revolteux")n'on concevoit pas une expérience alternative,

plus humaine.

Peut-être une approche avantout humaine aux événements serait plus

problèmatique,mais plus valable.Notre appui avec les opprimés,les ex

clus,les poursuivis pousse à comprendre les motivations de nos frères

et soeurs des banlieues françaises.Nous les avons appuyés contre l'É

tat,avons partagé leur rage et intolérance envers l'arrogance d'État(la

répression meurtrieuse de la Police)-comme à faveur de Bouna et Zyed

et nombreux autres,quoique ne partageons pas la méthode à travers la

quelle est explosèe la rèvolte.

Les diverses motivations dont a étée trempée cette révolte urbaine-des

angles generationaux,d'identité,ethniques,sociaux,etc-sont liées aux

contredictions et aux exigences,qui demandent une réponse.Une révol

te contre l'État ennemi et même contre une societé integrationiste étran

gere à différentes cultures,qui cherche superficielement une dimensione

communitaire non improvisable.

Une révolte qui n'a superé pas le dèfaut originel de perspectives,recher

chées par les protagonistes et qui risque de finir dans une dimension

seulement critique,negative,détructive.Elle devra trouver des autres par

cours,qui représenteront aussi à travers les contredictions un premier

germe de recherche et une diffèrente façon de vivre,qui anime les gens

à travers des façons encore inconscients.

Les perspectives humaines,avantout sociaux et non politiques ou éco

nomiques seulement,c'est à dire où y a le désaccord irrémediable en

vers le Systeme en vigueur et ses États,sont le plus grand problème et

la chance de nos gens et de nous comme des avant-gardes,comm'aus

si de nouveau façon de révolte.

La France aujourd'hui(comm'à la fin du 18ème siècle)probablement exer

ce un rôle anticipateur des phénomènes sociaux du tout clairs pour les

personnes,qui cherchent des nouveaux façons de vie pendant cette épo

que de transition,vecue par le Monde sous un Systeme économique vi

vant un sanguinare déclin,son obsolescence et sa détruction.

Le regard pour les lire (les phénomènes)et possiblement comprendre

afirmativement,critiquement et constructivement pourra être humaine

et humaniste,révolutionnaire,libertaire et socialiste.



P.S.Le traducteur ne partage pas necessairement les opinions expri

mées dans les articles traduits.