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articles traduits par mmetropoli

articles traduit par metropoliArticles traduits par le journal de l'Italie multiethnique
"Metropoli-Republica"de dimanche 26 mars 2006.

Une femme immigrée philipine a etée licenciée,parce que
selon la loi Bossi-Fini,après la naissance du deuxième fils,
sa maison de 45mq.n'est pas apte pour hopiter 4 person
nes.La famille a du constituer un prêt de 100.000€,qui dure
ra 20 ans.Cette femme,qui a l'âge de 29 ans,risque de per
dre aussi le permis de sejour.
Le mari gagne 1000 € à mois,dont € 650 pour payer le prêt.
Les paramètres d'aptitude du logement changent selon les
arrêtés regionaux.
A' Milan nous serions considérés clandestines,mais à Bolo
gne je serais en règle;tout ça est absurde!
Ces paramètres ne valent pas pour les italiens!
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La regione Veneto a le meilleur niveau d'integration.Les cri
tères choisis par le Consei National de l'Economie et du Tra
vail(CNEL) sont 3:
-presence dans le territoire-possibilités de travail-tranquilli
té sociale.
Chacun comprend des autres aspects concrets:augmenta
tion de presences et permanence dans une ville,rejointe
ment familiale,niveau scolaire,problèmes à l'ègard de la mai
son,nationalité,natalité,bon marché du travail,le chômage ou
les besoins de main d'oeuvre,presence d'entrepreneurs,le
revenu moyen.
Selon la statistique du CNEL la Midi-Italie est penalisée ex
clusivement à cause de sa precaire condition échonomique.
Presque la moitié du revenu d'un immigré est dépensée pour
la maison et l'alimentation(47%);
-le 24% pour acheter des vêtements,transports,école;
-le 15% est économisé pour des futures necessités;
-le 14% expédié aux parents restès dans les Pays de naissan
ce.
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Article de J.M.Bellu et Lorena Haz.

Un cauchemar pendant une entière nuit de Lorena.
Cette semaine l'auteur permit à une collègue journaliste de
l'Ecuador Lorena Haz de raconter une honteuse histoire
vécue à Rome.Quelqu'un pensera que l'histoire n'aurait
étée pas publiée,si l'eût vécue une personne n'importe quel
le.C'est vrai:probablement la victime,comme un grumeau
de la rancoeur,l'aurait cachée dans son âme.C'est le destin
d'autants histoires où le niveau de violence est pareil au
crime.Avait étée une très belle soirée passée chez Place Na
vona.Envers le minuit j'ai averti un peu de nausèe et j'ai dé
cidé de retourner chez moi.J'etais fatigué et ça m'a nui.
Dans ce lieu je travaille et j'etais sûre,en laissant le sac et
le PC.J'ai rejoint à pied la Piazza della Nuova Chiesa et là
j'ai trouvé un taxi.Après quelque centaine de mètres la
nausée m'a accablé.J'ai demandé au chauffeur du taxi de
s'arrêter .L'air fraise m'a fait bien.
Pendant que je remontais sur le taxi,le chauffeur m'a dit:
"la course est finie-20 €".Qui sait quelle chose aurait pen
sé pendant ces minutes le chauffeur!Je ne crois pas d'a
voir la face d'un criminal.J'ai lui dit que la chiffre etait exa
gérée et que je souffrais.Rien à faire!J'ai appelé la Police;
est arrivée bientôt.Sans ecouter mes justifications,après
avoir parlé avec le chauffeur du taxi,les agents de Police
m'ont ordonné de lui donner 17 € et l'ont congédié.
Ensuite à travers mon accent,eux m'ont demandé le per
mis de sejour.Ainsi est commencé le cauchemar.J'ai ex
pliqué,parce que j'en etais dépourvu.Etait suffisant télé
phoner et mes amis l'auraient porté tout de suite.
Au contraire eux m'ont séquestré le cellulare,m'ont ordon
n de monter sur l'auto de la Police et m'ont conduit chez
le Commissariat de rue Farini,en m'enfermant dans une
chambre.J'etais stupéfiée et j'ai demandé de parler avec
un superieur.M'ont dit de taire,parce que j'etais une etran
gére sans le permis de sejour.Un des agent m'a trompé,
parce que m'a dit qu'eux me conduisaient chez moi;au con
traire me conduisaient chez la prefécture de Police centrale.
J'ai imploré encore une explication;au contraire m'ont dit:
"Tu n'as pas le permis,tais!".Les agents ne m'ont épargné
rien:les empreintes digitaux,les photos signaletiques.J'ai
du les implorer 3 fois pour aller dans la salle de bain.Lor
sque je suis sortie des collègues ont dit des grossièretés
à leur collègue.Quelle misère!Je crois que soient passées
2 heures au moins.Après les 2 agents m'ont reconduit chez
le commissariat de rue Farini,où j'ai vu leur superieur.
Il m'a montrè 2 feuilles à firmer.Je les ai lus velocement:je de
vais declarer d'être le responsable et j'ai refusé de les si
gner.
Alors m'ont dit que je pouvais m'en aller,en me reconsei
gnant le cellulare.Etaient les h.5.30 du matin.Je vis à l'Italie
depuis 5 années et dans ce Pays j'ai repris à vivre,etudier
et j'ai trouvé des nombreux amis.Depuis 4 années à travers
l'activité de journaliste,j'etude les problèmes des immigrés
dans ses nuances.
Jusqu'à la nuit du 13 mars 2006 je n'avertissais pas le sens
de la discrimination.Je ne commetrai pas cette erreur:je colle
rai sur ma peau le permis de sejour.
"Regulaire,mais toujours immigré"!
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