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au sujet des questions globales



Article d'Antonella Pelillo traduit par le journal révolutionaire,socialiste,li

bertaire "La Comune" du 28 novembre 2005 n.°53



Au sujet des questions globales.



Sont dans les motivations d'un voyage et dans le choix-non choix(parce

qu'est forcé)de l'entreprendre.Concernent dizaines de millions de per

sonnes,qui s'engagent,en laissant leur pays,leurs gens,à changer leur

vie,pour l'ameliorer,la sauver,aider leurs familles.

Les questions,qui accompagnent les départs sont trempées d'espoir,

concernent la vie globalement considérée.Et elle est à discuter,dénatu

rée,bouleversée dans ses mises,son développement,dans les nouvel

les expériences,qui l'attendent,les nouveaux choix possibles,qui se ma

nifestent à chaque abordement.

Sont des questions,qui témoignent une humaine urgence,qui nous vi

vons et dont nos frères et soeurs provenants par tous les Pays du Mon

de sont les témoins,les protagonistes plus profonds et qui déjà à tra

vers leur voyage choisissent d'afronter.

Les questions sont donc humaines et sont trempées des drames et

"des chances",qui nous vivons.Traverser des mers,déserts,à travers

des voyages très longs poussés par les possibilités de changer la vie,

arriver dans un Pays étranger et trouver des inhumaines conditions de

vie et avoir tentés de retourner aux Pays de naissance,est un constant

éffort à chercher des nouveaux horizons,à rechercher des nouveux mo

dèles de vie.L'humiliation d'avoir considérés des potentiels criminels,

l'exclusion par la societè d'arrivée pousse les immigrés à chercher son

ethnie,comme un réfuge au moins passager par les méfiants sinon hos

tiles regards,comme un conseil scandé dans sa langue,comme un sou

tien à une vie cotidienne,qui semble ardue à afronter,comme une confir

mation enfin de n'avoir pas arrivés dans un désiré paradis,les immigrès

se demandent donc comment est possible continuer la vie conduite

dans le Pays de naissance,à travers ses usages,les valeurs de vie tran

smis par ses parents et souvent eux se demandent aussi si sont meil

leurs ou moins qu'autres exemples (de vie),qui (les immigrés)commen

cent à connaître.On peut choisir de rèsister aux nouvelles expériences

de vie et depuis on comprend que tout est dèjà changé intimement.

Quelles sont les possibilités (de vie)pour ses gens,dont les notices pro

viennent à travers un phone-center ou les personnes qui partissent,

quelles possibilités(de vie) dans les Pays d'arrivée,concretement pour

son future et des personnes plus prochaines?

Peut-être un permis de sejour qu'on obtient jamais ou tardivement et

qui ne change pas presque la vie,une humiliation à laquelle on révolte

pour la première fois,un autre frère ou soeur d'un autre Pays,qui vivent

les mêmes expériences,l'intuition qui dans aucun Pays du Monde les

Puissants et les États sont bons et l'intuition d'être des personnes ainsi

diverses mais tant pareilles sous l'aspect des sentiments émerge la ques

tion plus profonde:comme contribuer à ameliorer la vie cotidienne dans

les Pays d'arrivée et aussi pour les parents laissés dans les Pays de

naissance,comme vivre l'espérance humaine,qui nous anime?

Des questions globales de vie,aux lesquelles chercher ensemble des ré

ponses,qui nous avons besoin de n'éluder pas,de méditer,vivre,tandis

que nous proposons de choisir un engagement de changement global

pour et de nos sentiments.

Des questions qui s'éclairent mieux,lorsqu'on commence à afirmer pen

dant la vie cotidienne une initiale réponse d'humaine communauté,cel

le-là,qui nous proposons d'afirmer et pour laquelle nous choisissons ,

en nous assémbleant,de nous transformer et transformer la vie selon

"la philosophie socialiste".



P.S.Le traducteur ne partage pas necessairement les opinions expri

mées dans les articles traduits.





Article d'Antonella Pelillo traduit par le journal révolutionaire,socialiste,li

bertaire "La Comune" du 28 novembre 2005 n.°53



Au sujet des questions globales.



Sont dans les motivations d'un voyage et dans le choix-non choix(parce

qu'est forcé)de l'entreprendre.Concernent dizaines de millions de per

sonnes,qui s'engagent,en laissant leur pays,leurs gens,à changer leur

vie,pour l'ameliorer,la sauver,aider leurs familles.

Les questions,qui accompagnent les départs sont trempées d'espoir,

concernent la vie globalement considérée.Et elle est à discuter,dénatu

rée,bouleversée dans ses mises,son développement,dans les nouvel

les expériences,qui l'attendent,les nouveaux choix possibles,qui se ma

nifestent à chaque abordement.

Sont des questions,qui témoignent une humaine urgence,qui nous vi

vons et dont nos frères et soeurs provenants par tous les Pays du Mon

de sont les témoins,les protagonistes plus profonds et qui déjà à tra

vers leur voyage choisissent d'afronter.

Les questions sont donc humaines et sont trempées des drames et

"des chances",qui nous vivons.Traverser des mers,déserts,à travers

des voyages très longs poussés par les possibilités de changer la vie,

arriver dans un Pays étranger et trouver des inhumaines conditions de

vie et avoir tentés de retourner aux Pays de naissance,est un constant

éffort à chercher des nouveaux horizons,à rechercher des nouveux mo

dèles de vie.L'humiliation d'avoir considérés des potentiels criminels,

l'exclusion par la societè d'arrivée pousse les immigrés à chercher son

ethnie,comme un réfuge au moins passager par les méfiants sinon hos

tiles regards,comme un conseil scandé dans sa langue,comme un sou

tien à une vie cotidienne,qui semble ardue à afronter,comme une confir

mation enfin de n'avoir pas arrivés dans un désiré paradis,les immigrès

se demandent donc comment est possible continuer la vie conduite

dans le Pays de naissance,à travers ses usages,les valeurs de vie tran

smis par ses parents et souvent eux se demandent aussi si sont meil

leurs ou moins qu'autres exemples (de vie),qui (les immigrés)commen

cent à connaître.On peut choisir de rèsister aux nouvelles expériences

de vie et depuis on comprend que tout est dèjà changé intimement.

Quelles sont les possibilités (de vie)pour ses gens,dont les notices pro

viennent à travers un phone-center ou les personnes qui partissent,

quelles possibilités(de vie) dans les Pays d'arrivée,concretement pour

son future et des personnes plus prochaines?

Peut-être un permis de sejour qu'on obtient jamais ou tardivement et

qui ne change pas presque la vie,une humiliation à laquelle on révolte

pour la première fois,un autre frère ou soeur d'un autre Pays,qui vivent

les mêmes expériences,l'intuition qui dans aucun Pays du Monde les

Puissants et les États sont bons et l'intuition d'être des personnes ainsi

diverses mais tant pareilles sous l'aspect des sentiments émerge la ques

tion plus profonde:comme contribuer à ameliorer la vie cotidienne dans

les Pays d'arrivée et aussi pour les parents laissés dans les Pays de

naissance,comme vivre l'espérance humaine,qui nous anime?

Des questions globales de vie,aux lesquelles chercher ensemble des ré

ponses,qui nous avons besoin de n'éluder pas,de méditer,vivre,tandis

que nous proposons de choisir un engagement de changement global

pour et de nos sentiments.

Des questions qui s'éclairent mieux,lorsqu'on commence à afirmer pen

dant la vie cotidienne une initiale réponse d'humaine communauté,cel

le-là,qui nous proposons d'afirmer et pour laquelle nous choisissons ,

en nous assémbleant,de nous transformer et transformer la vie selon

"la philosophie socialiste".



P.S.Le traducteur ne partage pas necessairement les opinions expri

mées dans les articles traduits.